Tél: (514) 390-0110 • Fax: (514) 390-8415 • Web:
2570 rue Nicolet, bureau 301, Montréal (QC), H1W 2L5
Camp de formation féministe

Affiche

Le camp de formation féministe se tiendra le 30 octobre au collège de Bois-de-Boulogne.

Les frais de participations sont de 15 $ pour les membres et de 20 $ pour les non-membres. Vous devez téléphoner au 514-390-0110 ou écrire à l’adresse comite-femmes(a)asse-solidarite.qc.ca pour confirmer votre présence.

Ateliers :

Samedi 30 octobre 2010
Nom de l’atelier Nom des conférencières Description de l’atelier
9h00 - Introduction aux féminismes Andréanne Martel, Maîtrise en sc. politique (relations internationales) UQAM. Stéphanie Mayer, Maîtrise en sc. politique (concentration en études féministes) UQAM.  Les différentes perspectives féministes abordent-elles le militantisme de la même manière ? Tour d’horizon de la pluralité des courants féministes à la lumière de leurs objets de luttes et moyens d’actions.
9h00 - La non-violence radicale (non-mixte) Audrey Rousseau et Geneviève Guernier Cet atelier non-mixte sur la non-violence radicale aborde les thèmes de la responsabilité, du leadership, des rapports de pouvoir, de la domination et du conflit à l’intérieur des groupes militants, des degrés de consentement et du consensus dans les prises de décisions collectives, et évoque l’idée de la diversité des formes de résistance, dans une perspective féministe et de démocratie participative.
11h15 - Femmes assistées sociales et étudiantes, une nécessaire solidarité Nicole Jetté, militante au Front commun des personnes assistées sociales du Québec Atelier traitant de la condition des femmes assistées sociales au Québec en lien avec les conditions socio-économiques que vivent les étudiantes ? Quelles sont les similitudes et les différences dans leur oppression ? Quelles solidarités sont possibles ?
13h00 - Prestation du Théâtre AcharnéE - dîner Au Théâtre AcharnéE, nous voulons réveiller les individus trop passifs. Dénonçant l’aliénation sociale des femmes, tant au point de vue psychologique que physique, nous poursuivons la lutte qu’ont entamée nos mères. L’épanouissement des femmes au Québec est grandiose, mais rien n’est acquis, tout est en constant mouvement. La place qu’elles occupent aujourd’hui demande d’être questionnée. Oui, elles sont libérées, mais comment se définissent-elles réellement ? Comment agissent-elles, s’expriment-elles ? Qui sont-elles devenues ? Mais surtout… qui seront-elles ?
14h00 - Gumboot et luttes sociales : atelier actif et réflectif Jade Fauteux et Geneviève Dauphin Johnson Issu des luttes ouvrières en Afrique du Sud et repris au Québec par différents groupes de danse percussive, le gumboot nous permet de réfléchir sur la symbolique et l’imaginaire reliés aux moyens d’action utilisés dans les mouvements sociaux, de plus il permet d’aborder plusieurs thématiques féministes dont la réappropriation du corps et la déconstruction de stéréotypes genrés. Un atelier d’initiation permettra aux participantEs d’expérimenter les vertus défoulantes du gumboots !
15h45 - Femmes, logement et pauvreté Valérie Simard « Sortir du privé un enjeu de société » En raison de leur plus grande pauvreté et des inégalités qui perdurent entre femmes et hommes dans la société, les femmes sont doublement touchées par les problèmes de logement. Plus pauvres pour se payer des logements de plus en plus rares, les femmes sont plus nombreuses à consacrer une part exorbitante de leur revenu au logement. C’est le cas de quatre ménages locataires féminin sur dix au Québec. Elles sont aussi plus nombreuses à être locataires, 50% des femmes le sont versus 32% pour les hommes. Cet atelier sert à présenter les résultats obtenus suite à une vaste tournée d’ateliers donnés par le comité femmes du FRAPRU durant l’hiver 2010, dans les villes du Québec et différents quartiers de Montréal réunissant des femmes locataires et itinérantes de divers horizons.
18h30 - Hétérosexisme



Fichiers associés à cet article

• Affiche du camp de formation (1.9 Mo)

• Texte pour la formation ’’Femmes assistées sociales et étudiantes, une nécessaire solidarité’’ (69.2 ko)